Candidat (encore !)

qui sera le prochain président du Grand Lyon ?
Qui sera le prochain président du Grand Lyon ?

 


 

 

 

 

 

 

Socialiste depuis 2004, je ne suis pas de ceux qui renient si facilement leurs engagements ! Je ne comprends pas mon parti quand il décide, aux mépris de ses statuts, de “suspendre” l’élection du premier de ses camarades à Vénissieux.

J’aime en revanche mon parti quand il propose à ses militants de désigner celui qui animera la campagne métropolitaine et qui sera appelé à briguer la présidence du Grand Lyon.

Ces premières élections métropolitaines doivent en effet être un grand rendez vous démocratique pour tous les grand Lyonnais, et mon parti a eu raison de ne pas s’enfermer dans la désignation de tête de liste par circonscription, et de ne pas céder à la tentation d’une candidature choisie à Paris comme d’autres mouvements ont pu l’accepter…

Et parce que c’est ce parti que j’aime, parce que je crois au débat et à la démocratie interne, que j’ai décidé de candidater non seulement pour figurer sur les listes métropolitaines, mais aussi pour être tête de liste au niveau métropolitain.

Je pense en effet avoir toutes les qualités requises : à jour de cotisation, connaissant bien le fonctionnement des mairies et de la métropole, opposé au cumul des mandats dans le temps, issu des milieux populaires et moi même ouvrier, ma candidature permettra à notre Parti de renouer avec les classe populaires.

Je suis par ailleurs partisan de discussions, d’ouverture et pourquoi pas d’accords avec d’autres mouvements pour éviter à notre parti un enfermement mortifère et qui pourrait conduire à sa disparition de la carte métropolitaine.

“Lotfi, président de la métropole, mais il se prend pour qui celui là ?”  

J’imagine déjà les réactions de certains de mes camarades et je peux les comprendre. Mais il faut aussi qu’ils comprennent que notre parti ne pourra rebondir que s’il rompt avec ses vieilles habitudes et qu’il fait le pari de l’audace, de la jeunesse, et du renouveau.

J’attends donc avec impatience la campagne interne qui permettra à chacun des candidats à cette toute nouvelle responsabilité de présenter et défendre leur programme.

A très bientôt  !

 lire ma lettre de candidature ici

Ce qui nous rassemble

4CG2dBMFEn tant qu’homme engagé dans la vie politique j’ai souvent à faire face à des accusations de prétendus « communautarisme. Un ancien balayeur d’origine tunisienne, noir, musulman, candidat du parti socialiste qui était le premier parti de France, dans une ville où il a grandi, où il n’a jamais cessé de vivre, dont il a été maire adjoint entre 2008 et 2014, devrait forcément sa position à de supposées appartenances communautaires.

Si on tient absolument à me mettre dans des cases, voici les seules dans lesquelles j’accepterai de rentrer : Je suis d’abord et avant tout un citoyen français. À ce titre, un citoyen, père de trois enfants, investi dans dans la vie associative d’abord, dans la vie syndicale ensuite, dans le combat politique enfin.

Français, telle est mon identité, n’en déplaise à ceux, de tous bords, qui choisissent de ne retenir de moi que mes origines, ma couleur de peau ou ma religion. Ces pratiques en disent bien plus sur eux et sur leurs obsessions identitaires que sur moi.

Français, telle est mon identité donc. Je suis également habitant de Vénissieux. C’est ma ville, j’y ai grandi, j’y habite, l’ancien cantonnier que je suis en connais ses moindres recoins. Et c’est au nom de cet attachement profond à Vénissieux que je prends la parole.

Ma « communauté » si communauté il doit y avoir, c’est aussi alors celle des Vénissians. De tous les Vénissians, sans distinction d’origine, de classe sociale, de religion ou de couleurs de peau. N’en déplaise à mes adversaires, nous avons suffisamment de préoccupations en commun, de combats à mener ensemble et d’aspirations pour notre ville pour ne pas avoir à nous soucier de nos prétendues différences.

Car tous, nous somme préoccupés par les problèmes de sécurités, qui augmentent considérablement à Vénissieux.

Tous, nous sommes révoltés de voir que l’on vend de la drogue au pieds de nos immeubles.

Tous, nous sommes inquiets de la sécurité de nos enfants, qui ne peuvent même plus aller jouer au parc  » Dupic » ou de « la Darnaise », envahis par les rodéos de scooter.

Tous nous souhaitons la mise en place d’un accueil pré-scolaire pour les plus jeunes, afin de faciliter le quotidien des parents qui travaillent

Tous nous déplorons la fermeture des Equipements Polyvalents Jeunes après le 15 août à Noël…..Tous nous déplorons la baisse des subventions aux associations sportives.

Tous nous revendiquons enfin les mêmes droits à vivre, habiter, travailler en séc

urité et en harmonie à Vénissieux comme dans n’importe quelle autre ville de France.

Disons le clairement, notre ville manque d’ambition. Ou plutôt, ses dirigeants semblent poursuivre une mauvaise ambition. Quel est le sens de cette compétition ridicule au nombre d’habitants ?

La course aux 80 000 résidents ne nous intéresse pas ; faisons plutôt la compétition de la ville la plus dynamique, la course à la mixité sociale et nous répondrons présents ! Donnons nous l’ambition de vivre « bien » ensemble, plutôt que « nombreux » ensemble ; nous le méritons, notre ville, la 7ème de la région Auvergne Rhône Alpes, le mérite.

Nous avons de belles infrastructures, Vénissieux à 20 mn du centre de Lyon, un tramway, le métro, notre tissus économique est riche de presque 3000 entreprises.

Nous ne sommes pas condamnés à la misère, à l’isolement, au déclassement et à l’insécurité, la fracture territoriale qui nous mine n’est pas une fatalité. Il nous faut de la volonté, des idées, une haute idée de ce que pourrait être la vie à Vénissieux, une envie de faire enfin, bouger des lignes sclérosées depuis plus de 80 ans.

Il nous faut aimer cette ville, ses habitants, plus que le pouvoir et les honneurs. Il nous faut de l’espoir et de la détermination. Nous n’en manquons pas. Je n’en manque pas et c’est la raison pour laquelle je suis candidat à l’investiture du Parti socialiste.

Voila la communauté à laquelle j’appartiens finalement : Celle des gens de bonne volonté qui ne se résignent pas.

dites non à l’usine de concassage

nouveau-concasseur-machoires-hybride-pour-keestrack_620x350Le projet d’une nouvelle ZAC dans le quartier de Monmousseau prévoit la démolition de 500 logements.

Pour “traiter” les 48 000 tonnes  débris des immeubles démolis, la mairie prévoit d’installer une usine de concassage au coeur du quartier !

Lors du dernier conseil municipal j’ai dénoncé ce projet fou ! Nul part ailleurs dans l’agglomération on impose une telle contrainte aux habitants. Mais comme mon pouvoir en tant que conseiller municipal d’opposition est un peu limité, il est important que tous les habitants du quartier se mobilisent pour dire non à cette usine de concassage

écrivez à partir de votre adresse électronique personnelle avant le 13 septembre 2019 à venibalmes@grandlyon.com le message suivant : 

Capture d’écran 2019-07-24 à 14.52.11

 

“Cette contribution s’inscrit dans le cadre de la concertation préalable unique relative au projet d’aménagement Marché/Monmousseau/Balmes à Vénissieux.

J’ai appris que la métropole et la mairie de Vénissieux envisagent d’installer une usine de concassage des débris des démolition des immeubles au coeur du quartier.

Cette usine va être une source de nuisances insupportables pour les habitants du quartier qui ont déjà à en subir de nombreuses.

Il n’est pas acceptable d’infliger aux vénissians des Minguettes une telle double peine.

Je tiens donc à faire connaître ma totale opposition à l‘installation de cette usine de concassage.

Vous pouvez bien entendu personnaliser ce message en ajoutant vos propres arguments, mais n’oubliez surtout pas d’indiquer vos prénom, nom et adresse.

Ensemble, nous pouvons nous opposer à ce projet de dingue !

 

Grève des atsem : faire preuve de responsabilité

les-atsem-sont-indispensables-au-fonctionnement-des-ecoles-maternellesDepuis plusieurs semaines les ATSEM de la ville de Vénissieux manifestent  devant la mairie.

Les Atsem, ce sont les agents municipaux en charge des enfants dans les écoles maternelles.

La mairie les a consulté avant de modifier leur temps de travail en raison du retour à la semaine des 4 jours. Mais leur vote majoritaire n’a pas été pris en compte et la mairie a décidé d’une toute autre organisation.

On comprend alors que ces agents soient mécontents : pourquoi les consulter si c’est pour décider unilatéralement ensuite !

Contrairement à madame le maire et à ses élus toujours prompts à se mobiliser, je ne manifesterai pas aux côtés des agents de la mairie.

Si je comprends tout à fait leur réaction, j’estime qu’un élu municipal se doit d’éviter toute instrumentalisation, surtout s’agissant d’un mouvement social des agents municipaux.

J’espère que la maire sera faire preuve d’autant de responsabilité en s’interdisant ses traditionnelles méthodes d’intimidation et qu’elle aura l’intelligence de rapidement ré-ouvrir le dialogue afin de trouver des solutions.

Cette situation de blocage met en péril le service public et place les parents dans de grandes difficultés.

Il n’est pas inutile de rappeler que notre collectivité devrait justement être à leur service !

 

Le petit débat…

Capture_d'écran_041019_064217_PMMacron a lancé le Grand débat.

A Vénissieux, Michèle Picard a tenté la même opération, mais ce ne fut qu’un tout petit débat.

La consultation en ligne intitulée « Ma commune demain, je donne mon avis », organisée en catastrophe au début de l’année par la mairie n’a pas mobilisé les foules.

870 réponses selon la police, sans doute plus proche de 500, pour une commune de plus de 60 000 habitants, autant dire un gros flop.

Les résultats, si l’on peut parler de résultats avec un si petit échantillon, sont tout aussi vides de significations. Les vénissians placeraient en tête de leur priorité  la sécurité et la propreté.

COMME C’EST ÉTONNANT !

Mon coiffeur me disait justement la même chose il y peu, sans enquête ni cabinet d’expert !

On se doute bien que cette opération était avant tout un coup de com’ qui a permis à Michèle Picard de se faire un petit carnet d’adresses.

Lors de la présentation des « résultats” de cette consultation, j’ai demandé  à ce que me soit communiqués les résultats anonymisés de cette enquête, comme le prévoit la loi.

Pour une fois, la mairie a rapidement donné suite en m’adressant une clef usb contenant un tableur censé correspondre aux réponses des vénissians.

Je vais l’analyse en détail, mais  comme je suis un peu partageur, j’ai décidé de le partager avec tous ceux que l’avenir de Vénissieux intéresse.

Peut-être jaillira t il de l’étude de ces données par le plus grand nombre des idées nouvelles ?

 

le tableur est accessible ici.

Constance… et circonstance !

cuisineOn peut lui faire beaucoup de reproches, et même plus encore, mais Michèle Picard avait pour elle le mérite de la constance.

Constance dans sa dénonciation de la société capitaliste, constance dans sa détestation de la métropole lyonnaise, constance dans sa haine de la libre expression sur internet…

On s’étonnera donc d’autant plus de son soudain revirement s’agissant de la fourniture de repas avec et sans viande dans les cantines scolaires.

Depuis qu’elle est maire en 2009, elle n’a cessé de refuser d’offrir aux élèves de la commune un double menu tous les jours. Alors qu’elle reconnaissait que lorsque de la viande était servie la fréquentation des restaurants baissait significativement, elle s’est toujours arc-boutée sur une conception *quelque peu* rigide de la laïcité pour ne pas donner suite aux demandes des parents d’élèves de Vénissieux.

Ce serait faire rentrer le fait religieux à l’école” déclarait elle encore il y a peu alors qu’une pétition réunissait des centaines de signatures pour aligner l’offre des cantines de la commune sur celles de toutes les autres communes de l’agglomération.

Et tout à coup, en marge de l’inauguration d’une cuisine centrale, les vénissians apprennent par la bouche d’un de ses adjoints que les écoliers qui ne veulent pas manger de viande pourront désormais bénéficier d’un “système de double repas” (sic).

Alors que je suis un des des premiers a avoir porté cette revendication, je ne peux que me réjouir de cette décision qui permettra enfin à tous les jeunes vénissians de déjeuner désormais tous ensemble en paix.

Mais si je ne suis pas dupe des circonstances d’un tel revirement à un an des prochaines élections municipales, je m’interroge tout de même sur la nature réelle des engagements politiques de Michèle Picard.

Comment peut on changer aussi radicalement de position sur une thématique que l’on a défendu bec et ongles 10 ans durant ?

Doit on comprendre que Madame le maire a été “forcée” d’accepter un tel revirement – et alors qui dirige réellement notre commune ? – ou faut il comprendre que Michèle Picard préfère sa réélection à la défense de ses idées ?

Dans les deux cas, une explication aux vénissians s’avère plus que nécessaire.

Une bonne nouvelle !

Capture d’écran 2019-02-05 à 09.16.57Michèle Picard a été désignée par le parti communiste français comme co-listière pour les élections européennes de mai prochain.

Certes, elle n’est qu’à la 24eme place, ce n’est pas une place très honorable pour la maire de la 3eme ville du département…

Certes elle a très très très peu de chances d’être élue, surtout si sa liste ne dépasse pas le 5%, seuil fatidique pour avoir au moins un élu…

Certes, son programme sera plus nationaliste que véritablement européen, nous sommes habitués à ce positionnement

Mais c’est quand même une bonne nouvelle ! Une bonne nouvelle pour les vénissians…

Et je ne plaisante pas en écrivant cela.  

C’est une bonne nouvelle car Michèle Picard faire campagne.

Et donc, elle va enfin aller à  la rencontre des vénissians !

Et ça, c’est une bonne nouvelle !

Enfin, je crois…

 

gilets jaunes = menteurs

jauneQuand on est de gauche comme moi, il est tout simplement impossible de soutenir les gilets jaunes.

Pas parce que ce mouvement est aussi soutenu par des fachos.

Si des fachos  – ou même des communistes ! –  se mettaient à défendre une cause à laquelle je crois, je ne changerais pas d’avis au prétexte que je ne veux pas être avec eux.

Ce qui compte en politique, ce sont les idées, pas ceux qui les soutiennent.

Non, on ne peut pas défendre les gilets jaunes car ils mentent.

Ils mentent en prétendant agir pour la justice et en faveur des pauvres pour qui le plein de diesel serait devenu trop cher.

Car quand on est pauvre, on n’a pas de voiture.

Quand on est vraiment pauvre, on ne vit pas dans une maison individuelle dans le périurbain.

Les vrais pauvres, ceux qui sont vraiment dans la difficulté, ils habitent dans les banlieues des grandes agglomérations, les vrais pauvres, ils tentent de survivre dans les immeubles qui s’écoulent des centres villes abandonnés.

Les vrais pauvres, c’est l’INSEE qui le dit, il n’ont pas de gilets jaunes dans leur bagnole, mais ils respirent un air saturé de micro particules et ils meurent plus précocement.

Alors définitivement, qu’on ne viennent pas me parler de cette journée du 17.

Je la laisse aux démagogues d’extrême droite et d’extrême gauche.

Des questions que chacun pourrait poser…

Capture d’écran 2018-09-24 à 10.43.33Le carton distribué dans toutes les boîtes aux lettres annonce une promesse :

« Mardi 25 septembre Michèle Picard vous propose d’échanger avec vous sur le bilan à mi-mandat et sur l’avenir de notre commune. »

Un bilan et un échange donc.

Coté Bilan, on peut être certain que la maire n’oubliera pas de rappeler les décisions importantes qu’elle a prise durant ces dernière années

  1. Augmentation des impôts locaux de 5%
  2. Baisse des subventions aux associations de 5% à 20%
  3. Décision de construire une cuisine centrale à 9 millions d’euros sans mutualisation avec les autres communes, et sans pilotage puisque les travaux ont au moins un an de retard
  4. remboursement de ses frais de bouche jusqu’au plus petit Big Mac alors qu’elle dispose d’une confortable indemnité
  5. poursuite devant la justice des vénissians qui osent la critiquer sur internet
  6. Maintien en fonction d’un adjoint condamné pour violence.


Mais si l’échange est vraiment possible, je suis certain qu’elle saura répondre sans faux fuyant – et sans ses fiches – aux questions suivantes :

  1. Vous engagez vous à passer à la semaine des 4 jours si une majorité de parents d’élèves le demandent ?
  2. Comment allez vous constituer un nouveau conseil citoyen, neutre et indépendant, après l’annulation du précédent par la justice ?
  3. Qu’allez vous faire contre les incivilités et l’insécurité qui augmentent dans les parcs et nos rues, squattés par de personnes alcoolisées et  droguées ?
  4. Vous engagez vous à lancer une consultation pour savoir si les parents d’élèves souhaitent ou non des repas avec et sans viandes tous les jours à la cantine ?
  5. Avez vous l’intention d’engager une véritable politique pour une ville plus propre ?

Ces questions, chaque vénissian pourrait et devrait les poser au maire.

Et le maire devrait y répondre de manière simple sans ambiguïté. C’est à cette seule condition que ces points d’étape peuvent avoir un sens.

Sinon, ce ne sera encore une fois qu’une communication inutile.

La maire et le marronnier

marronC’est ce qu’on appelle dans la presse un marronnier. Un truc sans véritable intérêt et qui revient chaque année mais que les journalistes se doivent de couvrir…

A vénissieux, le marronnier, c’est la conférence de presse de Michèle Picard, la maire de la commune.

La prochaine aura lieu ce 6 septembre au club de la presse.

Je peux déjà vous raconter comment ça va se passer !

La maire, entourée de ses fidèles adjoints, va lire un long discours dans lequel il sera question du vivre ensemble, des effort des jardiniers municipaux pour garder le titre de ville fleurie et de la baisse inadmissible des dotations de l’état dirigé par des méchants capitalistes…

Elle remerciera les journalistes et tout le monde prendra un petit verre et  des cacahuettes.

Pourtant, il y aurait des questions importantes auxquelles les vénissians pourraient souhaiter avoir des réponses.

Tenez, par exemple, et sans aller bien loin, voici 5 propositions de questions pour nos amis les journalistes…

  • Madame la maire, vous avez pris le temps de la réflexion cet été ; allez vous conserver  Thierry Vignaud, pourtant condamné pour violence, comme adjoint ?
  • Madame le Maire, suite à l’annulation du conseil citoyen, comment allez vous faire pour constituer 3 conseils citoyens vraiment indépendants ?
  • Suite à l’incendie du centre commercial de la pyramide, selon vous accidentel, quelle mesure a pris la mairie pour permettre la réouverture rapide de la Pharmacie ?
  • Madame la maire, pouvez vous nous dire pourquoi les locataires de la Sacoviv n’ont pas été informés de la condamnation de leur bailleur et les assurer qu’ils ne seront pas mis à contribution pour payer l’amende infligée ?
  • Des rumeurs font état de votre non candidature à votre succession à la mairie. Pouvez vous nous confirmer que Pierre Alain Millet sera la tête de liste et que vous conduirez la campagne des métropolitaines ?

Si des journalistes lisent ce post de blog, qu’ils n’hésitent pas à s’inspirer de ces propositions de questions pour la conf’ de presseC’est cadeau !